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Le 12 avril 2008

Jeudi 1er mai. Le 1er mai est un jour férié obligatoirement chômé, sauf rares exceptions. Dans les cas exceptionnels où le 1er mai est travaillé, les salariés ont droit, en plus du salaire normal dû pour cette journée, à une indemnité égale au montant de ce salaire. Il n'est pas permis de faire travailler le 1er mai au titre de la journée de solidarité. Cette année, le 1er mai et le jeudi de l'Ascension coïncident, ce qui peut, selon la rédaction des conventions collectives, obliger l'employeur à accorder une contrepartie spécifique soit sous forme de repos, soit de salaire (pour le détail. Jeudi 8 et lundi 12 mai. Le 8 mai et le 12 mai (Pentecôte) sont des jours fériés ordinaires, travaillés ou chômés selon les cas, sachant que la récupération des heures perdues un jour férié chômé est interdite. Lorsqu'ils sont travaillés, aucune majoration de salaire n'est en principe due, sauf usage ou disposition conventionnelle contraire. Dans certaines circonstances, l'une de ces journées peut être travaillée au titre de la journée de solidarité. Ponts. Si des "ponts" sont accordés (par exemple les 2 et 9 mai), ils peuvent, le cas échéant, donner lieu à récupération.