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Le 02 avril 2004

La Cour de cassation rappelle que la mise en oeuvre de la clause résolutoire en particulier de la part du bailleur impose que la mauvaise foi soit exclue de l'action. Elle le fait en ces termes: "Attendu qu'ayant constaté que les époux X... ne pouvaient ignorer, lors de la délivrance du commandement de payer, que l'état d'insalubrité des lieux rendait impossible l'exploitation normale d'un restaurant et que les travaux de mise aux normes n'avaient été achevés que le 25 juillet 2001, la cour d'appel a, d'une part, souverainement retenu que les bailleurs avaient invoqué de mauvaise foi la clause résolutoire et justement déduit que le commandement de payer ne pouvait produire d'effet, d'autre part, réduit de 50% le montant du loyer jusqu'au 31 mai 2001 pour tenir compte des troubles de jouissance dont avaient souffert les époux Y... D'où il suit que le moyen n'est pas fondé;" Référence: €€http://www.legifrance.gouv.fr/WAspad/UnDocument?base=INCA&nod=IXCXCX2004...€- Cour de cassation, 3e chambre civ., 11 février 2004 (pourvoi n° 02-20184), rejet du pourvoi€€FAQ de l'Office notarial de Baillargues Posez votre question à l'un ou l'autre des départements de l'Office. S'il s'agit d'une question d'intérêt général, il vous sera répondu sur le site dans le meilleur délai. Pour une consultation personnalisée, utilisez la rubrique ad hoc.